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ville de vanves - Page 178

  • LEVIER DE BOUCLIER A VANVES CONTRE LE BETONAGE DU CHEMIN DU PAVE DES AMES

    C’était inévitable  que les riverains du 31 rue d’Issy se mobilisent contre un nouveau immobilier à l’emplacement du lieu du «chemin du pavé des âmes» dans un quartier résidentiel à la limite des communes de Vanves et d’Issy les Moulineaux, à côté du Rosier Rouge. Le dernier espace de verdure arboré entouré de pavillons et de petits immeubles derrière le jardin Jean Paul II du séminaire Saint Sulpice.

    Selon ses riverains, il constitue un havre de tranquillité et de verdure, abritant  de nombreux petits animaux avec un sol humide,  des sources souterraines, la présence de plusieurs puits. - la parcelle existante est un havre de tranquillité et de verdure.  Un joyau écologique vanvéen, dernier  vestiges du village de Vanves où 9 locataires précaires sont actuellement hébergés dans un logement très économique. Leur relogement ne se passerait pas dans de bonnes conditions

    Cette pétition demande l'annulation du projet immobilier qui parait inadapté pour de nombreuses raisons  dont la bétonisation  excessive de ce quartier. Un nouveau bâtiment de 63 logement sur deux étages de parking parait disproportionné, à leurs yeux, avec un immeuble de 15 m de haut construit sur 1595 m2, saturant un terrain étroit de 2300 m2 dont 1000 m2 de terre pleine. Les travaux vont certainement créés des désordres dans le réseau de circulation d'eaux souterraines.

    Il demande au Maire de Vanves de ne pas accepter le permis de construire soumis par le promoteur et en cours de validation. Ils auraient même établis un contre-projet qui protégerait l’aspect naturel de ce site avec des habitations, genre maisons de villes, un petit bâtiment résidentiel mais mieux intégré.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    Parmi les informations ayant marquées la semaine dernière :

    -La mobilisation de vanvéens pour la collecte de la banque alimentaire aurait permis de récolter 6,3 tonnes des denrées alimentaires et de produits de toutes sortes, durant le week-end des 26-27 Novembre.

    -L’Assemblée générale du Stade de Vanves n’aurait pas attirer beaucoup de monde, vendredi dernier, 25 personnes, surtout les dirigeants des sections et les membres du Comité Directeur, sur 4500 adhérents tout de même.

    -A l’occasion des 40 ans de l’Amicale des Pieds Noirs, un déjeuner a été organisé dimanche dernier au restaurant l’Harissa (à Issy les Moulineaux) animé par Piere Meige, au cours duquel le maire a renis à son président Jean Claude Abecassis, la médaille d’or de la ville de la ville qu’il a dédié à l’ensemble des adhérents de son association 

    FIRST AVENUE : L’inauguration de la Résidence First Class (sur la photo) jeudi dernier, en face de la gare SNCF Transilien Vanves-Malakoff à l’angle des rues René Coche/Victor Basch. IL comprend 46 logements dans trois bâtiments dont une partie est géré par le bailleur social Immobilière 3 F. Au rez-de-chaussée, il devrait accueillir une micro-créche associative « Les bébés explorateurs». Mais il a fallu du temps à ce promoteur pour y arriver, et surtout décider plusieurs propriétaires de vendre ensemble et même temps temps leurs pavillons pour arriver à édifier ce nouvel ensemble qui «participe à l’embellissement de notre ville» selon le Maire Bernard Gauducheau présent à cette Inauguration

    HAUSSE DU PASS NAVIGO : C’est aujourd’hui que Ile de France Mobilités (IDFM)  qui gére les transports dans notre région doit prendre la décision d’augmenter le passe Navigo à 90 € ou plus par mois. Valérie Pécresse, sa présidente a bien tenté jusqu’à ces derniers jours tentée d’obtenir une aide financière de l’Etat  pour combler les 450 M€ qui lui permettront d'équilibrer le budget 2023, sans quoi elle menace de suspendre une série de paiements liés à de grands projets, à commencer par la préparation des Jeux Olympiques et le métro du Grand Paris.  Cela marché, puisqu’il ne passera qu’à 84,10 €, puisque l’Etat a abondé de 200 M€ le budget d’IDF «Les Franciliens ne sont pas un tiroir-caisse sur lesquels on peut pomper en augmentant indéfiniment le passe Navigo, et l'Etat non plus n'est pas un tiroir-caisse» lui avait répondu Gabriel Attal tout en atténuant ses propos: «C'est un dossier suivi à très haut niveau, par la Première Ministre, les ministres concernés. On va continuer à travailler avec elle (Mme Pécresse, NDLR) pour trouver des solutions, pour l'aider. Mais il faut qu'elle nous aide à l'aider, en regardant les autres possibilités» que la hausse du forfait mensuel Navigo pour boucler le budget 2023, contraint par l'inflation et la flambée des prix de l'énergie. Tout en rappelant au passage que les transports sont la compétence de la région et non de l'Etat. Il n’empêche qu’après ce bras de fer, une solution a été trouvée

     

  • VANVES N’ECHAPPERA AUX COUPURES D’ELECTRICITE COMME L’ILE DE FRANCE

    La ministre de la Transition énergétique réfute l'idée que Paris et sa région seraientt privilégiée en cas de coupures d'électricité cet hiver. L’information a fait quelque peu grincer des dents sur les réseaux sociaux. Paris et la petite couronne dont Vanves seraient moins touchées par les éventuelles coupures d’électricités  envisagées par le gouvernement en cas d’éventuelles tensions sur le réseau électrique. Dans le courant de la semaine dernière plusieurs médias faisaient état que «les petits bouts de France» concernés se situeront surtout hors de Paris. «Des territoires présentent une concentration d’infrastructures prioritaires qui soutiennent l’ensemble du pays. A Paris et en petite couronne seulement 20% de la consommation d’électricité peut être coupée» précisait le gouvernement sur son site. IL est vrai que la région parisienne abrite des centres de décisions ou des sites d’énergéticiens à la gestion de la crise : «Vous ne pouvez couper le Bon Marché sans couper l’hôpital Necker»

    Du coup, dans en entretien au JDD dimanche Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition énergétique, a indiqué «qu'aucun territoire ne sera traité différemment : des délestages à Paris (comme à Vanves) sont possibles. Le sujet, ce n’est pas Paris mais les centres critiques : on n’éteindra pas les hôpitaux, qu’ils soient dans la capitale, à Lens ou à Rodez ! Même chose pour les lieux liés aux forces de l’ordre ou aux pompiers. On ne va pas couper les centres d’appui des responsables du réseau électrique, situés en petite couronne, alors qu’ils gèrent la crise pour tout le territoire». Elle appelle par ailleurs à «éviter de tomber dans la démagogie de certaines oppositions qui se nourrissent des peurs des gens». Dans chaque département, la liste des usagers prioritaires (arrêtés par le préfet sur une liste communiqué au gouvernement)  ne doit pas représenter plus de 38% de la consommation d’électricité du département.

    A Vanves, ils n’y auraient pas desites prioritaires comme chez ses voisins, dont la liste arrêté par le préfet des hauts de Seine  ne peut être divulgée. Donc les délestages, «mesures de derniers recours » de 2H seront inévitables le matin  entre 8H et 10H, le soir entre 18H et 20H, sachant que les vanvéens seront prévenus 3 jours auparavant. Dès la veille des coupures, à partir de 17 heures, il sera demandé aux maires concernés « d’activer une cellule de crise », idéalement dans le cadre du Plan communal de sauvegarde (PCS) pour les communes qui en sont dotées. Il sera notamment demandé de prévoir « une présence physique »  en mairie « ou dans des lieux prédéfinis »  pour relayer des alertes aux services de secours – puisque les réseaux téléphoniques seront très limités voire coupés. La circulaire souligne à ce sujet que tous les volontaires (associations agréées de sécurité civile, réserves communales, etc.) devront être mobilisés « pour assurer une présence de proximité dans les communes ». Ainsi, par exemple, pour les écoles, si c’est le matin, elles n’ouvriront que l’après-midi obligeant les parents à les garder chez eux, à prendre un RTT ou s’arranger avec les grands parents, si la mairie ne met pas un dispositif d’accueil comme lors des gréves, à condition que cela soit possible

    Mais pour l’instant  Vanves s’y prépare en lien avec le préfet Laurent Hottiaux qui doit réunir les maires altoséquanais, d’une part, pour les sensibiliser à la nécessité de réduire la consommation électrique en cas de tension (signal EcoWatt orange ou rouge) ; et, d’autre part, pour préparer avec eux la possibilité d’une coupure et ses répercussions. Les communes qui possèdent des générateurs (groupes électrogènes) seront appelées à les « tester ». Elles doivent identifier les personnes les plus vulnérables   comme elles le font en cas de canicule ou de  grand froid, mais aussi par exemple celles dont la vie dépend d’un respirateur, ne relève pas des maires mais des ARS, qui transmettront les listes à Enedis, .